Accords généraux de sécurité

Protéger le secret de la défense nationale 23 novembre 2022

L’échange d’informations stratégiques avec des partenaires étrangers ou des organisations internationales constitue un outil essentiel de la capacité de la France à peser dans le concert des Nations et à faire collectivement face aux crises internationales.

Lorsque cet échange porte sur des informations couvertes par le secret de la défense nationale, il n’est possible qu’en vertu d’un accord intergouvernemental, dit « accord de sécurité », définissant les modalités de protection à mettre en œuvre par la France et son partenaire sur la base d’un tableau d’équivalence entre les niveaux de classification nationaux et les niveaux de classification étrangers. 

Il existe différents types d’accords de sécurité : les accords généraux de sécurité (AGS) qui permettent d’échanger sur tous les domaines de l’action publique et les accords de sécurité réservés au seul domaine de la défense (ASDD). Dans les deux cas, ces accords peuvent être conclus entre la France et un État tiers, on parle alors d’accord bilatéral, ou entre plusieurs États et une organisation internationale, on parle alors d’accord multilatéral. 

Les informations classifiées étrangères échangées en vertu d’un accord de sécurité bénéficient de la même protection pénale que les informations classifiées nationales. 

Accords généraux de sécurité conclus entre la France et différents pays tiers

La Grèce

Accords généraux de sécurité conclus entre la France et différents pays tiers
Accords généraux de sécurité conclus entre la France et différents pays tiers

Accords de sécurité conclus entre la France et certaines organisations internationales

Accords de sécurité dans le domaine de la défense conclus entre la France et différents pays tiers

Accords de sécurité dans le domaine de la défense conclus entre la France et différents pays tiers
Accords de sécurité dans le domaine de la défense conclus entre la France et différents pays tiers